Sous le signe germanique

Sous le signe germanique

L’originalité de ce CD réside dans les échanges entre le piano et les 2 instruments à vents autour de transcriptions, inattendues de partitions chères au cœur des compositeurs germaniques.Sous le titre évocateur « Un voyage allemand », David WALTER, Rie KOYAMA, Frédéric LAGARDE,réunissent ainsi leur talent dans un programme original et inédit.

Comme le commente avec finesse et compétence Serge Krichewski, la transcription fut de tout temps une pratique courante qui permit la diffusion des œuvres dans tous les milieux. En outre la musique de chambre germanique constitue un terreau infini de témoignages, de dialogues instrumentaux de toutes sortes.
Le trio opus 11 avec piano n° 4 en sib M de Ludwig von Beethoven, surnommé « Gassenhaur » est un trio pour piano, clarinette et violoncelle composé en 1797. Une poésie subtile et évocatrice, émane de ce trio dédié à la comtesse Maria Whilhelmine von Thun, protectrice de Beethoven à Vienne. Sur un accompagnement d’une belle clarté du piano, le hautbois de David Walter pratique un légato joliment violonistique.

La longueur du souffle des 2 instrumentistes à vent leur permet un phrasé au caractère vocal. Le récit subtil de l’adagio, dans lequel dialoguent hautbois et basson jusqu’à s’entremêler intimement, est d’une simplicité qui confine à la perfection. Puis le lyrisme chaleureux et pétillant du thème et variations (sur le Thème de Pria Ch’io l’impegno) complète ce touchant triptyque comme un témoignage d’amour.

Max Bruch composa en 1911, 8 pièces op 83 pour son fils Max Félix, talentueux clarinettiste. La sérénité poétique du 1er andante est une introduction tout en douceur dans l’univers poétique de ce compositeur prolifique. La belle et douce sonorité des interprètes confère tout son lyrisme à ces 8 pièces.

Une belle lumière émane de la 2e pièce (allegro con moto), alors que la 7e (allegro vivace ma non troppo), frémit d’une passion contenue.

L’extrême musicalité de ces transcriptions assumée par les interprètes avec un panache impressionnant, en fera un incontournable dans vos discothèques.

Comme le commente avec finesse et compétence Serge Krichewski, la transcription fut de tout temps une pratique courante qui permit la diffusion des œuvres dans tous les milieux. En outre la musique de chambre germanique constitue un terreau infini de témoignages, de dialogues instrumentaux de toutes sortes.
Le trio opus 11 avec piano n° 4 en sib M de Ludwig von Beethoven, surnommé « Gassenhaur » est un trio pour piano, clarinette et violoncelle composé en 1797. Une poésie subtile et évocatrice, émane de ce trio dédié à la comtesse Maria Whilhelmine von Thun, protectrice de Beethoven à Vienne. Sur un accompagnement d’une belle clarté du piano, le hautbois de David Walter pratique un légato joliment violonistique.

La longueur du souffle des 2 instrumentistes à vent leur permet un phrasé au caractère vocal. Le récit subtil de l’adagio, dans lequel dialoguent hautbois et basson jusqu’à s’entremêler intimement, est d’une simplicité qui confine à la perfection. Puis le lyrisme chaleureux et pétillant du thème et variations (sur le Thème de Pria Ch’io l’impegno) complète ce touchant triptyque comme un témoignage d’amour.

Max Bruch composa en 1911, 8 pièces op 83 pour son fils Max Félix, talentueux clarinettiste. La sérénité poétique du 1er andante est une introduction tout en douceur dans l’univers poétique de ce compositeur prolifique. La belle et douce sonorité des interprètes confère tout son lyrisme à ces 8 pièces.

Une belle lumière émane de la 2e pièce (allegro con moto), alors que la 7e (allegro vivace ma non troppo), frémit d’une passion contenue.

L’extrême musicalité de ces transcriptions assumée par les interprètes avec un panache impressionnant, en fera un incontournable dans vos discothèques.

Comme le commente avec finesse et compétence Serge Krichewski, la transcription fut de tout temps une pratique courante qui permit la diffusion des œuvres dans tous les milieux. En outre la musique de chambre germanique constitue un terreau infini de témoignages, de dialogues instrumentaux de toutes sortes.
Le trio opus 11 avec piano n° 4 en sib M de Ludwig von Beethoven, surnommé « Gassenhaur » est un trio pour piano, clarinette et violoncelle composé en 1797. Une poésie subtile et évocatrice, émane de ce trio dédié à la comtesse Maria Whilhelmine von Thun, protectrice de Beethoven à Vienne. Sur un accompagnement d’une belle clarté du piano, le hautbois de David Walter pratique un légato joliment violonistique.

La longueur du souffle des 2 instrumentistes à vent leur permet un phrasé au caractère vocal. Le récit subtil de l’adagio, dans lequel dialoguent hautbois et basson jusqu’à s’entremêler intimement, est d’une simplicité qui confine à la perfection. Puis le lyrisme chaleureux et pétillant du thème et variations (sur le Thème de Pria Ch’io l’impegno) complète ce touchant triptyque comme un témoignage d’amour.

Max Bruch composa en 1911, 8 pièces op 83 pour son fils Max Félix, talentueux clarinettiste. La sérénité poétique du 1er andante est une introduction tout en douceur dans l’univers poétique de ce compositeur prolifique. La belle et douce sonorité des interprètes confère tout son lyrisme à ces 8 pièces.

Une belle lumière émane de la 2e pièce (allegro con moto), alors que la 7e (allegro vivace ma non troppo), frémit d’une passion contenue.

L’extrême musicalité de ces transcriptions assumée par les interprètes avec un panache impressionnant, en fera un incontournable dans vos discothèques.

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Comme le commente avec finesse et compétence Serge Krichewski, la transcription fut de tout temps une pratique courante qui permit la diffusion des œuvres dans tous les milieux. En outre la musique de chambre germanique constitue un terreau infini de témoignages, de dialogues instrumentaux de toutes sortes.
Le trio opus 11 avec piano n° 4 en sib M de Ludwig von Beethoven, surnommé « Gassenhaur » est un trio pour piano, clarinette et violoncelle composé en 1797. Une poésie subtile et évocatrice, émane de ce trio dédié à la comtesse Maria Whilhelmine von Thun, protectrice de Beethoven à Vienne. Sur un accompagnement d’une belle clarté du piano, le hautbois de David Walter pratique un légato joliment violonistique.

La longueur du souffle des 2 instrumentistes à vent leur permet un phrasé au caractère vocal. Le récit subtil de l’adagio, dans lequel dialoguent hautbois et basson jusqu’à s’entremêler intimement, est d’une simplicité qui confine à la perfection. Puis le lyrisme chaleureux et pétillant du thème et variations (sur le Thème de Pria Ch’io l’impegno) complète ce touchant triptyque comme un témoignage d’amour.

Max Bruch composa en 1911, 8 pièces op 83 pour son fils Max Félix, talentueux clarinettiste. La sérénité poétique du 1er andante est une introduction tout en douceur dans l’univers poétique de ce compositeur prolifique. La belle et douce sonorité des interprètes confère tout son lyrisme à ces 8 pièces.

Une belle lumière émane de la 2e pièce (allegro con moto), alors que la 7e (allegro vivace ma non troppo), frémit d’une passion contenue.

L’extrême musicalité de ces transcriptions assumée par les interprètes avec un panache impressionnant, en fera un incontournable dans vos discothèques.

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Comme le commente avec finesse et compétence Serge Krichewski, la transcription fut de tout temps une pratique courante qui permit la diffusion des œuvres dans tous les milieux. En outre la musique de chambre germanique constitue un terreau infini de témoignages, de dialogues instrumentaux de toutes sortes.
Le trio opus 11 avec piano n° 4 en sib M de Ludwig von Beethoven, surnommé « Gassenhaur » est un trio pour piano, clarinette et violoncelle composé en 1797. Une poésie subtile et évocatrice, émane de ce trio dédié à la comtesse Maria Whilhelmine von Thun, protectrice de Beethoven à Vienne. Sur un accompagnement d’une belle clarté du piano, le hautbois de David Walter pratique un légato joliment violonistique.

La longueur du souffle des 2 instrumentistes à vent leur permet un phrasé au caractère vocal. Le récit subtil de l’adagio, dans lequel dialoguent hautbois et basson jusqu’à s’entremêler intimement, est d’une simplicité qui confine à la perfection. Puis le lyrisme chaleureux et pétillant du thème et variations (sur le Thème de Pria Ch’io l’impegno) complète ce touchant triptyque comme un témoignage d’amour.

Max Bruch composa en 1911, 8 pièces op 83 pour son fils Max Félix, talentueux clarinettiste. La sérénité poétique du 1er andante est une introduction tout en douceur dans l’univers poétique de ce compositeur prolifique. La belle et douce sonorité des interprètes confère tout son lyrisme à ces 8 pièces.

Une belle lumière émane de la 2e pièce (allegro con moto), alors que la 7e (allegro vivace ma non troppo), frémit d’une passion contenue.

L’extrême musicalité de ces transcriptions assumée par les interprètes avec un panache impressionnant, en fera un incontournable dans vos discothèques.

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Comme le commente avec finesse et compétence Serge Krichewski, la transcription fut de tout temps une pratique courante qui permit la diffusion des œuvres dans tous les milieux. En outre la musique de chambre germanique constitue un terreau infini de témoignages, de dialogues instrumentaux de toutes sortes.
Le trio opus 11 avec piano n° 4 en sib M de Ludwig von Beethoven, surnommé « Gassenhaur » est un trio pour piano, clarinette et violoncelle composé en 1797. Une poésie subtile et évocatrice, émane de ce trio dédié à la comtesse Maria Whilhelmine von Thun, protectrice de Beethoven à Vienne. Sur un accompagnement d’une belle clarté du piano, le hautbois de David Walter pratique un légato joliment violonistique.

La longueur du souffle des 2 instrumentistes à vent leur permet un phrasé au caractère vocal. Le récit subtil de l’adagio, dans lequel dialoguent hautbois et basson jusqu’à s’entremêler intimement, est d’une simplicité qui confine à la perfection. Puis le lyrisme chaleureux et pétillant du thème et variations (sur le Thème de Pria Ch’io l’impegno) complète ce touchant triptyque comme un témoignage d’amour.

Max Bruch composa en 1911, 8 pièces op 83 pour son fils Max Félix, talentueux clarinettiste. La sérénité poétique du 1er andante est une introduction tout en douceur dans l’univers poétique de ce compositeur prolifique. La belle et douce sonorité des interprètes confère tout son lyrisme à ces 8 pièces.

Une belle lumière émane de la 2e pièce (allegro con moto), alors que la 7e (allegro vivace ma non troppo), frémit d’une passion contenue.

L’extrême musicalité de ces transcriptions assumée par les interprètes avec un panache impressionnant, en fera un incontournable dans vos discothèques.

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Comme le commente avec finesse et compétence Serge Krichewski, la transcription fut de tout temps une pratique courante qui permit la diffusion des œuvres dans tous les milieux. En outre la musique de chambre germanique constitue un terreau infini de témoignages, de dialogues instrumentaux de toutes sortes.
Le trio opus 11 avec piano n° 4 en sib M de Ludwig von Beethoven, surnommé « Gassenhaur » est un trio pour piano, clarinette et violoncelle composé en 1797. Une poésie subtile et évocatrice, émane de ce trio dédié à la comtesse Maria Whilhelmine von Thun, protectrice de Beethoven à Vienne. Sur un accompagnement d’une belle clarté du piano, le hautbois de David Walter pratique un légato joliment violonistique.

La longueur du souffle des 2 instrumentistes à vent leur permet un phrasé au caractère vocal. Le récit subtil de l’adagio, dans lequel dialoguent hautbois et basson jusqu’à s’entremêler intimement, est d’une simplicité qui confine à la perfection. Puis le lyrisme chaleureux et pétillant du thème et variations (sur le Thème de Pria Ch’io l’impegno) complète ce touchant triptyque comme un témoignage d’amour.

Max Bruch composa en 1911, 8 pièces op 83 pour son fils Max Félix, talentueux clarinettiste. La sérénité poétique du 1er andante est une introduction tout en douceur dans l’univers poétique de ce compositeur prolifique. La belle et douce sonorité des interprètes confère tout son lyrisme à ces 8 pièces.

Une belle lumière émane de la 2e pièce (allegro con moto), alors que la 7e (allegro vivace ma non troppo), frémit d’une passion contenue.

L’extrême musicalité de ces transcriptions assumée par les interprètes avec un panache impressionnant, en fera un incontournable dans vos discothèques.

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Comme le commente avec finesse et compétence Serge Krichewski, la transcription fut de tout temps une pratique courante qui permit la diffusion des œuvres dans tous les milieux. En outre la musique de chambre germanique constitue un terreau infini de témoignages, de dialogues instrumentaux de toutes sortes.
Le trio opus 11 avec piano n° 4 en sib M de Ludwig von Beethoven, surnommé « Gassenhaur » est un trio pour piano, clarinette et violoncelle composé en 1797. Une poésie subtile et évocatrice, émane de ce trio dédié à la comtesse Maria Whilhelmine von Thun, protectrice de Beethoven à Vienne. Sur un accompagnement d’une belle clarté du piano, le hautbois de David Walter pratique un légato joliment violonistique.

La longueur du souffle des 2 instrumentistes à vent leur permet un phrasé au caractère vocal. Le récit subtil de l’adagio, dans lequel dialoguent hautbois et basson jusqu’à s’entremêler intimement, est d’une simplicité qui confine à la perfection. Puis le lyrisme chaleureux et pétillant du thème et variations (sur le Thème de Pria Ch’io l’impegno) complète ce touchant triptyque comme un témoignage d’amour.

Max Bruch composa en 1911, 8 pièces op 83 pour son fils Max Félix, talentueux clarinettiste. La sérénité poétique du 1er andante est une introduction tout en douceur dans l’univers poétique de ce compositeur prolifique. La belle et douce sonorité des interprètes confère tout son lyrisme à ces 8 pièces.

Une belle lumière émane de la 2e pièce (allegro con moto), alors que la 7e (allegro vivace ma non troppo), frémit d’une passion contenue.

L’extrême musicalité de ces transcriptions assumée par les interprètes avec un panache impressionnant, en fera un incontournable dans vos discothèques.

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Comme le commente avec finesse et compétence Serge Krichewski, la transcription fut de tout temps une pratique courante qui permit la diffusion des œuvres dans tous les milieux. En outre la musique de chambre germanique constitue un terreau infini de témoignages, de dialogues instrumentaux de toutes sortes.
Le trio opus 11 avec piano n° 4 en sib M de Ludwig von Beethoven, surnommé « Gassenhaur » est un trio pour piano, clarinette et violoncelle composé en 1797. Une poésie subtile et évocatrice, émane de ce trio dédié à la comtesse Maria Whilhelmine von Thun, protectrice de Beethoven à Vienne. Sur un accompagnement d’une belle clarté du piano, le hautbois de David Walter pratique un légato joliment violonistique.

La longueur du souffle des 2 instrumentistes à vent leur permet un phrasé au caractère vocal. Le récit subtil de l’adagio, dans lequel dialoguent hautbois et basson jusqu’à s’entremêler intimement, est d’une simplicité qui confine à la perfection. Puis le lyrisme chaleureux et pétillant du thème et variations (sur le Thème de Pria Ch’io l’impegno) complète ce touchant triptyque comme un témoignage d’amour.

Max Bruch composa en 1911, 8 pièces op 83 pour son fils Max Félix, talentueux clarinettiste. La sérénité poétique du 1er andante est une introduction tout en douceur dans l’univers poétique de ce compositeur prolifique. La belle et douce sonorité des interprètes confère tout son lyrisme à ces 8 pièces.

Une belle lumière émane de la 2e pièce (allegro con moto), alors que la 7e (allegro vivace ma non troppo), frémit d’une passion contenue.

L’extrême musicalité de ces transcriptions assumée par les interprètes avec un panache impressionnant, en fera un incontournable dans vos discothèques.

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Comme le commente avec finesse et compétence Serge Krichewski, la transcription fut de tout temps une pratique courante qui permit la diffusion des œuvres dans tous les milieux. En outre la musique de chambre germanique constitue un terreau infini de témoignages, de dialogues instrumentaux de toutes sortes.
Le trio opus 11 avec piano n° 4 en sib M de Ludwig von Beethoven, surnommé « Gassenhaur » est un trio pour piano, clarinette et violoncelle composé en 1797. Une poésie subtile et évocatrice, émane de ce trio dédié à la comtesse Maria Whilhelmine von Thun, protectrice de Beethoven à Vienne. Sur un accompagnement d’une belle clarté du piano, le hautbois de David Walter pratique un légato joliment violonistique.

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Max Bruch composa en 1911, 8 pièces op 83 pour son fils Max Félix, talentueux clarinettiste. La sérénité poétique du 1er andante est une introduction tout en douceur dans l’univers poétique de ce compositeur prolifique. La belle et douce sonorité des interprètes confère tout son lyrisme à ces 8 pièces.

Une belle lumière émane de la 2e pièce (allegro con moto), alors que la 7e (allegro vivace ma non troppo), frémit d’une passion contenue.

L’extrême musicalité de ces transcriptions assumée par les interprètes avec un panache impressionnant, en fera un incontournable dans vos discothèques.

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Comme le commente avec finesse et compétence Serge Krichewski, la transcription fut de tout temps une pratique courante qui permit la diffusion des œuvres dans tous les milieux. En outre la musique de chambre germanique constitue un terreau infini de témoignages, de dialogues instrumentaux de toutes sortes.
Le trio opus 11 avec piano n° 4 en sib M de Ludwig von Beethoven, surnommé « Gassenhaur » est un trio pour piano, clarinette et violoncelle composé en 1797. Une poésie subtile et évocatrice, émane de ce trio dédié à la comtesse Maria Whilhelmine von Thun, protectrice de Beethoven à Vienne. Sur un accompagnement d’une belle clarté du piano, le hautbois de David Walter pratique un légato joliment violonistique.

La longueur du souffle des 2 instrumentistes à vent leur permet un phrasé au caractère vocal. Le récit subtil de l’adagio, dans lequel dialoguent hautbois et basson jusqu’à s’entremêler intimement, est d’une simplicité qui confine à la perfection. Puis le lyrisme chaleureux et pétillant du thème et variations (sur le Thème de Pria Ch’io l’impegno) complète ce touchant triptyque comme un témoignage d’amour.

Max Bruch composa en 1911, 8 pièces op 83 pour son fils Max Félix, talentueux clarinettiste. La sérénité poétique du 1er andante est une introduction tout en douceur dans l’univers poétique de ce compositeur prolifique. La belle et douce sonorité des interprètes confère tout son lyrisme à ces 8 pièces.

Une belle lumière émane de la 2e pièce (allegro con moto), alors que la 7e (allegro vivace ma non troppo), frémit d’une passion contenue.

L’extrême musicalité de ces transcriptions assumée par les interprètes avec un panache impressionnant, en fera un incontournable dans vos discothèques.

Comme le commente avec finesse et compétence Serge Krichewski, la transcription fut de tout temps une pratique courante qui permit la diffusion des œuvres dans tous les milieux. En outre la musique de chambre germanique constitue un terreau infini de témoignages, de dialogues instrumentaux de toutes sortes.
Le trio opus 11 avec piano n° 4 en sib M de Ludwig von Beethoven, surnommé « Gassenhaur » est un trio pour piano, clarinette et violoncelle composé en 1797. Une poésie subtile et évocatrice, émane de ce trio dédié à la comtesse Maria Whilhelmine von Thun, protectrice de Beethoven à Vienne. Sur un accompagnement d’une belle clarté du piano, le hautbois de David Walter pratique un légato joliment violonistique.

La longueur du souffle des 2 instrumentistes à vent leur permet un phrasé au caractère vocal. Le récit subtil de l’adagio, dans lequel dialoguent hautbois et basson jusqu’à s’entremêler intimement, est d’une simplicité qui confine à la perfection. Puis le lyrisme chaleureux et pétillant du thème et variations (sur le Thème de Pria Ch’io l’impegno) complète ce touchant triptyque comme un témoignage d’amour.

Max Bruch composa en 1911, 8 pièces op 83 pour son fils Max Félix, talentueux clarinettiste. La sérénité poétique du 1er andante est une introduction tout en douceur dans l’univers poétique de ce compositeur prolifique. La belle et douce sonorité des interprètes confère tout son lyrisme à ces 8 pièces.

Une belle lumière émane de la 2e pièce (allegro con moto), alors que la 7e (allegro vivace ma non troppo), frémit d’une passion contenue.

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